2/16/2012
Campagne 2012
1/27/2011
Projections dans le cadre de la campagne du 14 février 2011
Journée internationale des travailleurs-euses des fleurs - 14 février 2011
CAMPAGNE ANNUELLE
DU COMITÉ POUR LES DROITS HUMAINS EN AMÉRIQUE LATINE
- Le droit à la libre association
- Le droit à des contrats stables
- Une environnement de travail sain
9/19/2010
DIFFUSIONS DEPUIS LE LANCEMENT
- Festival internacional de teatro popular Entepola, Ciudad Bolívar, Bogota - 10 août 2011
- Cine club Revista Hekatombe, Universidad Incca, Bogota - 11 août
- Museo de Arte Moderno de Bogota - 12 août
- Comedor popular de la localidad Rafael Uribe Uribe, Bogota - 14 août
- Cineclub Pulpmovies (con colaboracion de la Corporacion Canopus), Medellin - 17 août
- Escuela secundaria del Témésis - 18 août
- Cineclub La Otra Cara, Ciudad Bolivar (Antioquia) - 18août
- Escuela secundaria de Ciudad Bolivar (Antioquia) - 19 août
- Foro social de la Sabana, Madrid - 20 de agosto
- Sede Untraflores, Facatativa - 27 août
- Universidad Nacional, Bogota - 29 août
- Centro cultural de la Universidad Los Andes, Bogota - 30 août
29. Festival internacional de cine y video alternativo y comunitario Ojo al Sancocho, Colombie Selection officielle 16 au 23 de septembre 2011
30. MUESTRA DE CINE INDEPENDIENTE DE MEDELLIN INDIVISIBLE, Medellin, Colombie
21 novembre 2011
Janvier 2012
1/29/2010
CAMPAGNE 2010
- Lundi le 8 février à 18h, local R-M160, UQAM, Montréal (Organisé par Cinéma Politica UQAM) *
- Jeudi le 11 février, Coopérative Auberge de jeunesse Petite-Nation, St-André-Avellin (heure à confirmer)
- Samedi le 13 février à 19h30, à la coop Paradis, Rimouski (Organisé par le Cinéma Paraloeil) *
- Mardi le 30 mars à 18h, Café La Tasse, Cegep de La Pocatière (Organisé par Projektion 16-35) *
1/21/2010
Des pistes d'actions pour appuyer les travailleurs et travailleuses
Au CDHAL, nous sommes persuadés que le respect des travailleuses et de l'environnement est nécessaire dans tout échange commercial. Les travailleurs-euses n'ont pas à être en compétition les uns contre les autres sur l'ensemble du globe à savoir qui acceptera de se faire payer le moins cher et de mettre sa vie en péril pour avoir un contrat. Pour que les choses changent dans ce secteur, aucune recette miraculeuse et simpliste n'existe puisque nous croyons que c'est l'ensemble de notre système économique et nos sytèmes d'échange qui doivent changer de cap.
Toutefois, nous vous proposons ici quelques pistes d'actions pour faire avancer les choses:
* Faites pression par écrit, ici comme ailleurs, sur les gouvernements et producteurs afin qu'ils respectent les droits humains et conventions internationales, dont celles de l'Organisation internationale du travail (OIT).
* Appuyez économiquement les organisations sociales et syndicales afin qu'elles puissent exister sans répression et se renforcer pour mener leurs combats si essentiels pour l'avancement de toute société. C'est crucial!
(Vous pouvez faire un chèque au nom du CDHAL et spécifier à quelle fin est votre don, quelle campagne, quelle action ou pour transfert à Cactus ou Untraflores en Colombie)
* Manifestez vos préoccupations aux fleuristes et grossistes locaux en insistant pour qu'ils achètent des fleurs produites dans le respect des travailleurs et de l'environnement et qu'ils fassent aussi pression eux-mêmes sur les producteurs au Sud. Une vigilance est toujours nécessaire même pour les fleurs certifiées. (Selon plusieurs fleuristes, moins de 1% des consommateurs de fleurs leurs manifestent un intérêt pour les conditions de travail dans le Sud.)
* Si vous faites parties d'un syndicat ou d'une organisation sociale, alliez-vous politiquement au syndicat Untraflores en Colombie ou avec l'organisation Cactus.
* Dans une optique écologique et de simplicité volontaire, n'achetez plus de fleurs issues de l'exportation et cueillez vous-même vos bouquets en été!
* En ce qui à trait à la Colombie, informez-vous sur le traité de libre-échange Canada-Colombie. La signature de ce traité n'aidera en rien la situation des travailleurs en Colombie et le CDHAL invite à s'y opposer avant sa ratification en chambre. Écrivez à votre député, écrivez des articles sur le sujet, invitez votre organisation à s'y opposer publiquement... Bien que Harper ait signé l'accord, en janvier 2010, l'accord n'est toujours pas ratifié en chambre et les pressions continuent.
* Impliquez-vous au CDHAL ou dans des organisations sociales prônant les respect des droits humains.
* Diffusez l'information, parlez-en, exigez des changements et surtout, mettez ces belles valeurs d'égalité, de respect et d'équité en pratique dans votre vie personnelle et professionnelle d'abord, car avant de changer le monde, faut se changer soi-même!...
2/01/2009
Pétition 2009
C'est un grain de sable important. Merci!
Destinataire
DIEGO PALACIO BETANCOURT, Ministre de la Protection Sociale de la Colombie et AUGUSTO SOLANO, président de l'Association des exportateurs de fleurs de la Colombie
Pétition clôturée le 31 mars 2009
Alors que les exportateurs de fleurs en Colombie ont exporté pour plus d’un milliard de dollars US de fleurs en 2007 et 2008, les conditions de travail des employés ne s'améliorent guère.
Le salaire minimum (déjà extrêmement bas) et les avantages sociaux ne sont souvent pas payés en bonne et due forme puisque le secteur favorise trop souvent la sous-traitance à travers des coopératives de placement (Coopératives de Travail Associé ou CTA) et autres intermédiaires et se déresponsabilise ainsi du traitement salarial de ces employéEs. Ceux-ci, ne disposant pas de contrat, peuvent être congédiéEs facilement et ont peine à faire respecter leurs droits et à mettre fin à leurs sérieux problèmes de santé ou à obtenir réparation.
Les pratiques anti-syndicales mises en place, notamment la promotion de syndicats patronaux, ou les mesures discriminatoires ou diffamatoires contre les employéEs tentant de s'organiser, rendent très difficile l’exercice du droit d’association des employés afin de faire respecter le code du travail ou les dites certifications sociales et écologiques en vigeur dans leurs serres respectives.
De plus, dans le contexte de crise économique, des milliers de travailleurs ont perdu leur emploi sans même qu'on ne leur verse l'assurance emploi à laquelle ils ont cotisé. Le secteur de la floriculture a reçu des millions de dollars de la part du gouvernement colombien pour sa relance et pour sauver les emplois, pourtant on continue de concentrer les gains entre les mains de quelques personnes et de socialiser les pertes chaque fois que c'est possible en diminuant le nombre de postes, en sabrant dans les conditions de travail ou en augmentant le rythme de production des travailleurs.
Aujourd'hui nous exhortons le Ministère de la Protection Sociale de la Colombie et les propriétaires de serres de fleurs à assurer:
- Le respect du droit à la libre association en cessant toutes mesures dissuasives contre l’organisation syndicale autonome et indépendante en Colombie.
- La contractualisation directe avec les travailleuses et travailleurs en réduisant grandement l'utilisation des coopératives de placement (Cooperativas de Trabajo Asociado, CTA) à des fins ponctuelles et de très courtes durées seulement.
- Le versement, en bonne et due forme, des salaires et indemnisations en tout temps et aussi en cas de mises à pied.
En signant cette lettre, nous nous engageons, de plus, à faire part de nos préoccupations et revendications auprès de nos fleuristes locaux chaque fois que nous nous procurerons des fleurs dans l'avenir