2/16/2012

Campagne 2012

Aujourd'hui, jour de St-Valentin, le Comité pour les droits humains en Amérique latine vous invite à célébrer votre amour pour un commerce équitable et pour les droits humains!
 
Depuis 2002, le 14 février est aussi souligné comme la Journée internationale des travailleurs des fleurs afin de sensibiliser la population à la dure réalité des ouvrières produisant ces fleurs que nous achetons massivement à la Saint-Valentin.
Au Canada, plus de 50% des fleurs importées proviennent de la Colombie. Les impacts environnementaux et humains de cette industrie milliardaire doivent être mieux connus pour que nous puissions développer des moyens d'agir comme citoyen et consommateur afin que la situation s'améliore.
Cette année le CDHAL vous invite à envoyer une lettre de pression au Ministère du travail via l'Ambassade de Colombie au Canada et au Ministère des affaires étrangères et du commerce international du Canada. Merci de prendre quelques minutes pour faire cet envoi. Nous savons par expérience que cette pression diplomatique peut vraiment faire une différence.
 
De plus, en grande première sur Internet, vous pouvez dès aujourd'hui visionner en ligne le documentaire « À fleur de peau, un bouquet de la Colombie » (en français et en espagnol) dont le 2ième chapitre est entièrement consacré à la question des fleurs d'exportation.
Sur la même chaîne YouTube, soit afleurdepeau2012, vous trouverez aussi deux très courts messages tournés pour le 14 février à votre intention de la part de nos 2 partenaires en Colombie. D'autres vidéos se rajouteront sous peu. Abonnez-vous à la chaîne!
(Dans nos favoris, plusieurs vidéos externes avec sous-titres en anglais sont aussi disponibles sur le sujet.)
 
Pour plus d'information et d'articles, voir les actualités sur la page d'accueil CDHAL!
 
Joyeuse St-Valentin en cette Journée internationale des travailleuses et travailleurs des fleurs!
 
Vous trouverez ici des pistes d'actions à la portée de tous et toutes pour agir en solidarité avec les travailleurs-euses

1/27/2011

Projections dans le cadre de la campagne du 14 février 2011


Cinéma Politica, Ormstown, Québec
Le mercredi 9 février - 19h - Cafe Namasthe (5 rue Church, Ormstown)
  

Rencontre du film Utopia de Bordeaux, France 
Le dimanche 13 février


 Semaine de l'Environnement, Rimouski, Québec
Le lundi 14 février, 19h30, Baromètre (Université du Québec à Rimouski)
En présence de la co-réalisatrice
Projections à Montréal à confirmer sous peu.

Journée internationale des travailleurs-euses des fleurs - 14 février 2011

 

CAMPAGNE ANNUELLE 
DU COMITÉ POUR LES DROITS HUMAINS EN AMÉRIQUE LATINE

La production de fleurs est un secteur important de l'économie pour de nombreux pays qui dépendent de l'agriculture (Colombie, Équateur, Kenya, Zimbabwe...)

Les milliards de dollars générés mondialement par l'exportation des fleurs n'ont pas entraîné un plus grand développement social ni bénéficié aux travailleurs-euses de serre, en plus d'endommager l'écosystème dans les secteurs de production.

Au contraire, ce type de développement approfondit la dépendance de ces pays, les ressources étant majoritairement exportées à des prix dérisoires vers les pays consommateurs. 
 
Les droits des travailleurs y sont bafoués et la santé des travailleuses est mise à rude épreuve pour la production en serre de millions de fleurs requérant des quantités astronomiques d'eau et de pesticides.



Historique de la campagne
En 2002, l'organisme colombien Cactus inaugurait la Journée internationale des travailleuses et travailleurs des fleurs afin de donner une visibilité et de rendre hommage aux ouvrières (80% de femmes dans le secteur).



La Colombie est le 2e exportateur mondial de fleurs après les Pays-Bas.
Sa production s'envole vers 89 pays sur les 5 continents. 



Pourquoi rendre hommage?
Cactus affirme que la majorité des travailleuses de l'industrie ont une faible estime d'elle-même. Elles travaillent dans une logique de survie du lundi au samedi, de 8 à 16 heures quotidiennement pour un maigre salaire de 6 à 7 dollars par jour. 
 
La Journée internationale des travailleuses et travailleurs des fleurs ainsi que le travail acharné de Cactus et de Untraflores, le seul syndicat indépendant existant dans le secteur, permet de faire connaître aux travailleuses leurs droits et l'importance de les défendre malgré les représailles.



« Il faut qu'elles comprennent que leur vie, vaut plus que des milliers de fleurs réunies » explique la responsable de la campagne chez Cactus.



Au niveau international, la campagne a servi à faire des liens entre les travailleuses de cette industrie. 

Dans les pays consommateurs, la campagne cherche à sensibiliser le public, les fleuristes et les grossistes aux conditions de travail inacceptables prévalant dans le secteur et aux impacts environnementaux.



70% des fleurs importées au Canada proviennent de la Colombie, du Mexique ou de l'Équateur



Depuis 2006, le Comité pour les droits humains en Amérique latine s'allie à cette campagne en posant de nombreuses actions. 
 
Des lettres et pétitions sont remises aux autorités colombiennes et à l'Association des exportateurs de fleurs, des documents d'informations sont envoyés aux fleuristes québécois et écoles de fleuristerie et des articles sont mis en ligne sur notre site. 
 
Le documentaire À fleur de peau, un bouquet de la Colombie continue d'être diffusé largement afin de sensibiliser la population et d'ouvrir des débats sur la question des droits du travail et de la justice sociale. 
 
La vente du film permet d'amasser des fonds pour la campagne dont 80% sont redirigés directement vers Cactus et Untraflores en Colombie afin de soutenir leur travail.



Soutenez les travailleuses!
Appuyez vous aussi la campagne québécoise et nos partenaires en Colombie en faisant un don en ligne ou par la poste, ou en vous procurant le documentaire.




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Revendications principales
des travailleuses en Colombie



  • Le droit à la libre association
Des tactiques diffamatoires ou discriminatoires sont souvent utilisées à l'égard des travailleuses syndiquées ou en voie de le faire.
  • Le droit à des contrats stables
Le secteur fait de plus en plus appel à la sous-traitance pour contourner l'obligation de payer assurances-santé, congés, indemnisations de départ, etc.
  • Une environnement de travail sain
Les pesticides utilisés et les délais de fumigation non respectés entraînent de graves maladies (pulmonaires, cancers, malformations congénitales) et la contamination des terres et eaux.
Les rendements horaires exigés sont très élevés et les ouvrières disent se sentir comme des machines, ce qui cause aussi des problèmes de santé (stress, tendinites, maux de dos).



9/19/2010

DIFFUSIONS DEPUIS LE LANCEMENT

1.Théâtre de poche, Granby
12 février 2009 (1 représentation à guichet fermé)

2.Cinéma ONF, Montréal (2 représentations à guichet fermé)
14 février 2009

3.Auditorium Institut de technologie agroalimentaire (ITA), La Pocatière
19 février 2009

4.Dépanneur Sylvestre, Gatineau
8 mai 2009

5.Colloque international sur l'éducation relative à l'environnement, Montréal
12 mai 2009

6.Cinéma Le Clap, Québec (7 représentations)
15 au 21 mai 2009

7.Parlement fédéral à Ottawa
(Présentation privée pour les députés, ministres et employés du Parlement sous l'invitation du Bloc québécois)
25 mai 2009

8.École secondaire de St-Hyacinthe (2 représentations)
6 novembre 2009

9.Congrès jeunesse d'Amnistie internationale (2 représentations)
7 novembre 2009

10. Cinéma Politica UQÀM, Montréal
8 février 2010

11. Café Coop Touski à Montréal
11 février 2010

12.Auberge internationale de jeunesse à St-André-Avellin
11 février 2010

13.Cinéma Paraloeil, Rimouski
13 février 2010

14.Cegep de La Pocatière
30 mars 2010

15.Cegep de Matane
6 avril 2010

16.Cegep de Amqui (CMEQ)
8 avril 2010

17. Festival de Cine et Vidéo indépendant Contre le silence Toutes les voix, México
Sélection officielle
PRIX: Meilleur documentaire dans la catégorie mouvement social et organisation citoyenne
18 au 25 avril (6 représentations, tournée nationale et diffusion sur la chaîne de télé universitaire)

19.Solidarité Bois-Francs, Victoriaville
1er mai 2010

20.Café des Artistes de la Lièvre à Buckingham
5 mai 2010

21. Festival de la Mémoire, Tepoztlan, Morelos, Mexique
Sélection officielle
22 au 26 septembre 2010

22. Festival del Cine invisible, Bilbao, Espagne
Sélection officielle
MENTION SPÉCIALE: Meilleur long-métrage documentaire
28 septembre au 7 octobre 2010

23. Festival de film documentaire et de fiction latino-américain de Bruxelles, Belgique
Sélection officielle
11 au 19 octobre 2010

24. Cinéma Politica, Ormstown, Québec
Le mercredi 9 février 2011 - 19h - Cafe Namasthe (5 rue Church, Ormstown)
 
24.  Rencontre du film Utopia de Bordeaux, France
Sélection officielle
12, 13 février 2011

25. Semaine de l'Environnement, Rimouski, Québec
Le lundi 14 février 2011, 19h30, Baromètre (Université du Québec à Rimouski)

26. Festival international du film Alvaro Ramirez, Havane, Cuba
Sélection officielle
6 au 11 mars 2011


27. TOURNÉE EN COLOMBIE - AOÛT 2011
  • Festival internacional de teatro popular Entepola, Ciudad Bolívar, Bogota - 10 août 2011
  • Cine club Revista Hekatombe, Universidad Incca, Bogota - 11 août
  • Museo de Arte Moderno de Bogota - 12 août
  • Comedor popular de la localidad Rafael Uribe Uribe, Bogota - 14 août
  • Cineclub Pulpmovies (con colaboracion de la Corporacion Canopus), Medellin - 17 août
  • Escuela secundaria del Témésis - 18 août
  • Cineclub La Otra Cara, Ciudad Bolivar (Antioquia) - 18août
  • Escuela secundaria de Ciudad Bolivar (Antioquia) - 19 août
  • Foro social de la Sabana, Madrid - 20 de agosto
  • Sede Untraflores, Facatativa - 27 août
  • Universidad Nacional, Bogota - 29 août
  • Centro cultural de la Universidad Los Andes, Bogota - 30 août 

28.  IX Vancouver Latin American Film Festival, Colombie-Britannique
Sélection officielle 
1er au 11 septembre 2011  

29. Festival internacional de cine y video alternativo y comunitario Ojo al Sancocho, Colombie Selection officielle 16 au 23 de septembre 2011

30. MUESTRA DE CINE INDEPENDIENTE DE MEDELLIN INDIVISIBLE, Medellin, Colombie
21 novembre 2011
31. Casa de Asterión, Medellín, Colombie
24 de novembre 2011

32.Télédiffusion - Televisora Venezolana Social TVES, Vénézuela 
Janvier 2012











1/29/2010

CAMPAGNE 2010

Afin de souligner la St-Valentin avec un autre regard,
le Comité pour les droits humains en Amérique latine (CDHAL)
s’allie pour une quatrième année à l’organisme colombien Cactus et aux centaines de milliers de travailleurs de la floriculture oeuvrant dans des conditions de travail très difficiles au Sud afin de célébrer la Journée Internationale des travailleuses et travailleurs des fleurs ce 14 février.

CETTE ANNÉE, DANS LE CADRE DE LA CAMPAGNE ANNUELLE, LE CDHAL:

1) Promouvoit la diffusion du documentaire "À fleur de peau, un bouquet de la Colombie":

  •  Lundi le 8 février à 18h, local R-M160, UQAM, Montréal (Organisé par Cinéma Politica UQAM) *
  •  Jeudi le 11 février, Coopérative Auberge de jeunesse Petite-Nation, St-André-Avellin (heure à confirmer)
  •  Samedi le 13 février à 19h30, à la coop Paradis, Rimouski (Organisé par le Cinéma Paraloeil) *
  •  Mardi le 30 mars à 18h, Café La Tasse, Cegep de La Pocatière (Organisé par Projektion 16-35) *
* En présence de la co-réalisatrice


2) Fait campagne auprès de 250 fleuristes et grossistes à travers le Québec ainsi qu'auprès des Écoles de fleuristerie afin de les sensibiliser aux conditions de vie des travailleuses de cette industrie et des les inciter à faire partie de la solution en faisant pression sur les producteurs et distributeurs de fleurs pour le respect des droits du travail dans les pays exportateurs.


3) Demande votre participation
afin de diffuser les dates de projection du documentaire ainsi que ce communiqué envoyé ce 14 février 2010, vous enjoignant de signer une pétition pour les travailleurs et de diffuser de l'information sur la Journée internationale auprès de vos proches.



Merci beaucoup de votre solidarité,

L'équipe du CDHAL
(514) 387-5550
www.cdhal.org

1/21/2010

Des pistes d'actions pour appuyer les travailleurs et travailleuses

Certaines améliorations ont eu lieu au cours de dernières années et des certifications plus écologiques (et légèrement sociales) ont vu le jour suite au travail acharné des travailleuses et des organisations locales, comme la Corporacion Cactus en Colombie et aussi grâce à la bonne volonté de certains acheteurs et producteurs et aux pressions des consommateurs.


Au CDHAL, nous sommes persuadés que le respect des travailleuses et de l'environnement est nécessaire dans tout échange commercial. Les travailleurs-euses n'ont pas à être en compétition les uns contre les autres sur l'ensemble du globe à savoir qui acceptera de se faire payer le moins cher et de mettre sa vie en péril pour avoir un contrat. Pour que les choses changent dans ce secteur, aucune recette miraculeuse et simpliste n'existe puisque nous croyons que c'est l'ensemble de notre système économique et nos sytèmes d'échange qui doivent changer de cap.

Toutefois, nous vous proposons ici quelques pistes d'actions pour faire avancer les choses:


* Faites pression par écrit, ici comme ailleurs, sur les gouvernements et producteurs afin qu'ils respectent les droits humains et conventions internationales, dont celles de l'Organisation internationale du travail (OIT).

* Appuyez économiquement les organisations sociales et syndicales afin qu'elles puissent exister sans répression et se renforcer pour mener leurs combats si essentiels pour l'avancement de toute société. C'est crucial!
(Vous pouvez faire un chèque au nom du CDHAL et spécifier à quelle fin est votre don, quelle campagne, quelle action ou pour transfert à Cactus ou Untraflores en Colombie)

* Manifestez vos préoccupations aux fleuristes et grossistes locaux en insistant pour qu'ils achètent des fleurs produites dans le respect des travailleurs et de l'environnement et qu'ils fassent aussi pression eux-mêmes sur les producteurs au Sud. Une vigilance est toujours nécessaire même pour les fleurs certifiées. (Selon plusieurs fleuristes, moins de 1% des consommateurs de fleurs leurs manifestent un intérêt pour les conditions de travail dans le Sud.)

* Si vous faites parties d'un syndicat ou d'une organisation sociale, alliez-vous politiquement au syndicat Untraflores en Colombie ou avec l'organisation Cactus.

* Dans une optique écologique et de simplicité volontaire, n'achetez plus de fleurs issues de l'exportation et cueillez vous-même vos bouquets en été!

* En ce qui à trait à la Colombie, informez-vous sur le traité de libre-échange Canada-Colombie. La signature de ce traité n'aidera en rien la situation des travailleurs en Colombie et le CDHAL invite à s'y opposer avant sa ratification en chambre. Écrivez à votre député, écrivez des articles sur le sujet, invitez votre organisation à s'y opposer publiquement... Bien que Harper ait signé l'accord, en janvier 2010, l'accord n'est toujours pas ratifié en chambre et les pressions continuent.

* Impliquez-vous au CDHAL ou dans des organisations sociales prônant les respect des droits humains.

* Diffusez l'information, parlez-en, exigez des changements et surtout, mettez ces belles valeurs d'égalité, de respect et d'équité en pratique dans votre vie personnelle et professionnelle d'abord, car avant de changer le monde, faut se changer soi-même!...

2/01/2009

Pétition 2009

MERCI D'AVOIR SIGNÉ LA PÉTITION AFIN D'EXPRIMER VOTRE DÉSIR DE VOIR LES DROITS DU TRAVAIL RESPECTÉS DANS L'INDUSTRIE DES FLEURS D'EXPORTATION
(et partout ailleurs bien sûr!)

La pétition a maintenant été envoyée aux autorités concernées.

Les pétitions sont une façon d'en apprendre sur un cas précis puis, d'exprimer en groupe un message afin qu'il ait plus de force sur les producteurs et autorités.
C'est un grain de sable important.
Merci!

Destinataire

DIEGO PALACIO BETANCOURT, Ministre de la Protection Sociale de la Colombie et AUGUSTO SOLANO, président de l'Association des exportateurs de fleurs de la Colombie


Pétition clôturée le 31 mars 2009

Alors que les exportateurs de fleurs en Colombie ont exporté pour plus d’un milliard de dollars US de fleurs en 2007 et 2008, les conditions de travail des employés ne s'améliorent guère.

Le salaire minimum (déjà extrêmement bas) et les avantages sociaux ne sont souvent pas payés en bonne et due forme puisque le secteur favorise trop souvent la sous-traitance à travers des coopératives de placement (Coopératives de Travail Associé ou CTA) et autres intermédiaires et se déresponsabilise ainsi du traitement salarial de ces employéEs. Ceux-ci, ne disposant pas de contrat, peuvent être congédiéEs facilement et ont peine à faire respecter leurs droits et à mettre fin à leurs sérieux problèmes de santé ou à obtenir réparation.

Les pratiques anti-syndicales mises en place, notamment la promotion de syndicats patronaux, ou les mesures discriminatoires ou diffamatoires contre les employéEs tentant de s'organiser, rendent très difficile l’exercice du droit d’association des employés afin de faire respecter le code du travail ou les dites certifications sociales et écologiques en vigeur dans leurs serres respectives.

De plus, dans le contexte de crise économique, des milliers de travailleurs ont perdu leur emploi sans même qu'on ne leur verse l'assurance emploi à laquelle ils ont cotisé. Le secteur de la floriculture a reçu des millions de dollars de la part du gouvernement colombien pour sa relance et pour sauver les emplois, pourtant on continue de concentrer les gains entre les mains de quelques personnes et de socialiser les pertes chaque fois que c'est possible en diminuant le nombre de postes, en sabrant dans les conditions de travail ou en augmentant le rythme de production des travailleurs.


Aujourd'hui nous exhortons le Ministère de la Protection Sociale de la Colombie et les propriétaires de serres de fleurs à assurer:

- Le respect du droit à la libre association en cessant toutes mesures dissuasives contre l’organisation syndicale autonome et indépendante en Colombie.

- La contractualisation directe avec les travailleuses et travailleurs en réduisant grandement l'utilisation des coopératives de placement (Cooperativas de Trabajo Asociado, CTA) à des fins ponctuelles et de très courtes durées seulement.

- Le versement, en bonne et due forme, des salaires et indemnisations en tout temps et aussi en cas de mises à pied.

En signant cette lettre, nous nous engageons, de plus, à faire part de nos préoccupations et revendications auprès de nos fleuristes locaux chaque fois que nous nous procurerons des fleurs dans l'avenir

250 signataires du Québec